Je laisse quelques photos.
Les explications viendront plus tard.
Nous rentrons dans la ville et atteignons le lac aux caïmans jouxtant le résidence de feu le président FHB.
Alors, alors, petit voyage au coeur de la capitale de Côte d'IVOIRE.
C'était il y a deux semaines. Le lundi premier juin est férié, on a un week-end de trois jours devant nous. Ni une ni deux (ni trois quatre cinq) je propose à mes collègues d'aller visiter la ville où ils ont au moins passé 5 ans pour leurs études. Deux répondent présent à l'appel. Je me débrouille (non sans mal) pour changer ma charrette de 106 en moyen de locomotion plus décent pour avaler de l'asphalte et c'est parti. J'ai été crédité de 300 points peugeot, et c'est maintenant le volant d'une 406 que je tiens entre les mains. Samedi 10H, nous mettons les voiles vers le nord.
La route est incroyablement meilleure que la côtière qui joint Abidjan à San pédro. Il y a même une centaine de kilomètres d'autoroute (oui oui) sans le moindre souci. Il reste quelques personnes qui traversent la voie ou des gbakas mal garés mais on ne va quand même pas se plaindre. Bon, un seul détail ennuyant la climatisation de l'auto qui est gâtée. Dommage.
La deuxième moitié de la route est un peu plus technique. L'autoroute deux fois deux voies à laissé place à une petite route de campagne sinueuse et parfois défoncée. Les multiples semi-remorques viennent ajouter un peu de difficulté à la conduite. Il se crée parfois une file d'une dizaine de véhicules qui crachent tous une fumée d'une couleur plutôt sombre et qu'il est extrêmement difficile de doubler, surtout quand la visibilité est faible et que la voie de gauche est mauvaise.
Trois heures après avoir quitté la Capitale économique, nous voici entrés dans la capitale politique.
Quel changement au premier abord ! Des chaussées plus larges que les Champs-Élysées, assorties de lampadaires plus hauts que ceux de l'A16 (l'autoroute des plages!). Je n'ai pas eu le loisir de vérifier leur fonctionnement vu qu'il était 13H. Cependant, et fort heureusement, nous ne sommes pas si dépaysés que ça au vu de la présence des corps habillés et autres forces de l'ordre. Le premier barrage nous le fait comprendre. "Papiers du véhicule, permis de conduire, pièces d'identité s'il vous plaît", "ouvrez le coffre" , "avez vous une autorisation" "ah vous n'êtes pas en règle...." j'en passe et des meilleures, tout le monde sort de la voiture et les palabres commencent. Finalement nous ne plions pas et nous passons le barrage sans s'être allégé financièrement.
La voie est libre pour découvrir la ville.
Premier point de chute : Polytechnique Yamoussoukro. ou plutôt l'INP : Institut national polytechnique. Un concentré de cerveaux. Le futur de la côte d'ivoire. Ce campus est réparti sur trois sites. L'un est consacré aux classes préparatoires. L'autre regroupe pas mal d'écoles (Informatique, Travaux Publics, Energétique, commerce, assurances...) et le dernier d'autres écoles plus portées vers l'agronomie et la chimie. Il est intéressant de comparer les conditions de vie des étudiants de prépa de CI par rapport aux français. Les piaules sont du même niveau, étroites et pas franchement accueillantes. Mais le bâtiment des salles de cours rappelle étrangement un centre de vacances. Petites fontaines, jardin bien entretenu, avec plantes en tout genre. Des petits bassins au milieu des allées. Non franchement ils ne sont pas mal lotis les futurs cadres ivoiriens ! Ajoutons à cela du soleil toute l'année, une température qui ne descend jamais en dessous des 20°C, des manguiers dans le jardin qui parachèvent le décor, et on a une idée des études d'ingénieur à Yakro.
Deuxième Etape : La résidence du vieux père (Félix Houphouët-Boigny) et son lac aux Caïmans. Impressionnant. Je crois que pour nourrir lesdits caïmans, le personnel d'entretien jette une dizaine de poulets dans le lac !
C'était il y a deux semaines. Le lundi premier juin est férié, on a un week-end de trois jours devant nous. Ni une ni deux (ni trois quatre cinq) je propose à mes collègues d'aller visiter la ville où ils ont au moins passé 5 ans pour leurs études. Deux répondent présent à l'appel. Je me débrouille (non sans mal) pour changer ma charrette de 106 en moyen de locomotion plus décent pour avaler de l'asphalte et c'est parti. J'ai été crédité de 300 points peugeot, et c'est maintenant le volant d'une 406 que je tiens entre les mains. Samedi 10H, nous mettons les voiles vers le nord.
La route est incroyablement meilleure que la côtière qui joint Abidjan à San pédro. Il y a même une centaine de kilomètres d'autoroute (oui oui) sans le moindre souci. Il reste quelques personnes qui traversent la voie ou des gbakas mal garés mais on ne va quand même pas se plaindre. Bon, un seul détail ennuyant la climatisation de l'auto qui est gâtée. Dommage.
La deuxième moitié de la route est un peu plus technique. L'autoroute deux fois deux voies à laissé place à une petite route de campagne sinueuse et parfois défoncée. Les multiples semi-remorques viennent ajouter un peu de difficulté à la conduite. Il se crée parfois une file d'une dizaine de véhicules qui crachent tous une fumée d'une couleur plutôt sombre et qu'il est extrêmement difficile de doubler, surtout quand la visibilité est faible et que la voie de gauche est mauvaise.
Trois heures après avoir quitté la Capitale économique, nous voici entrés dans la capitale politique.
Quel changement au premier abord ! Des chaussées plus larges que les Champs-Élysées, assorties de lampadaires plus hauts que ceux de l'A16 (l'autoroute des plages!). Je n'ai pas eu le loisir de vérifier leur fonctionnement vu qu'il était 13H. Cependant, et fort heureusement, nous ne sommes pas si dépaysés que ça au vu de la présence des corps habillés et autres forces de l'ordre. Le premier barrage nous le fait comprendre. "Papiers du véhicule, permis de conduire, pièces d'identité s'il vous plaît", "ouvrez le coffre" , "avez vous une autorisation" "ah vous n'êtes pas en règle...." j'en passe et des meilleures, tout le monde sort de la voiture et les palabres commencent. Finalement nous ne plions pas et nous passons le barrage sans s'être allégé financièrement.
La voie est libre pour découvrir la ville.
Premier point de chute : Polytechnique Yamoussoukro. ou plutôt l'INP : Institut national polytechnique. Un concentré de cerveaux. Le futur de la côte d'ivoire. Ce campus est réparti sur trois sites. L'un est consacré aux classes préparatoires. L'autre regroupe pas mal d'écoles (Informatique, Travaux Publics, Energétique, commerce, assurances...) et le dernier d'autres écoles plus portées vers l'agronomie et la chimie. Il est intéressant de comparer les conditions de vie des étudiants de prépa de CI par rapport aux français. Les piaules sont du même niveau, étroites et pas franchement accueillantes. Mais le bâtiment des salles de cours rappelle étrangement un centre de vacances. Petites fontaines, jardin bien entretenu, avec plantes en tout genre. Des petits bassins au milieu des allées. Non franchement ils ne sont pas mal lotis les futurs cadres ivoiriens ! Ajoutons à cela du soleil toute l'année, une température qui ne descend jamais en dessous des 20°C, des manguiers dans le jardin qui parachèvent le décor, et on a une idée des études d'ingénieur à Yakro.
Deuxième Etape : La résidence du vieux père (Félix Houphouët-Boigny) et son lac aux Caïmans. Impressionnant. Je crois que pour nourrir lesdits caïmans, le personnel d'entretien jette une dizaine de poulets dans le lac !
1 commentaire:
sympa la faune locale
bon y'a toujouw pa de biafine suw ton site tout pouwi
tete de gouwcuff va
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